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VALENTINE.
C’est un duel !
OCTAVE.
Mais non ! non !
VALENTINE.
Ta pâleur,
Et ce matin, ici, ton trouble… ta douleur…
Et ta montre en mes mains, comme un adieu laissée.
OCTAVE, (avec résolution, à Maurice).
Partons !…
VALENTINE.
Partir !… mourir !…
MAURICE., (avec énergie).
Mourir !… Quelle pensée !…
Mourir !… Est-ce qu’on meurt lorsque l’on a pour soi
Une sœur comme vous… un ami comme moi !
VALENTINE.
Que dites-vous ?
MAURICE.
Je dis… du cœur ! Quoi qu’il advienne,
De sa vie, aujourd’hui, je réponds sur la mienne !
Je sens là que Dieu même avec nous combattra !
(À Octave.)
Partons !…
(À Valentine.)
Avant une heure il vous embrassera !
(Ils sortent.)