Page:Achard - Rosalie de Constant, sa famille et ses amis, II, Eggimann.djvu/187

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pas tout à fait étranger à la paix qui y règne, si j’ai mérité quelque bienveillance de la part de ses habitans, ils ne pouvaient pour me le témoigner remettre leur procuration dans de meilleures mains.

M. »[1]


Le même à M. Samuel de Constant :


Mezières, ce mercredi 27 aoust.

« J’ai l’honneur d’envoyer à monsieur Constant les livres de sa bibliothèque qu’il a eu la bonté de me prêter. Ce qui m’empêche d’y joindre le volume du Mari sentimental, c’est que M. de Narbonne n’a pas voulu se laisser enlever le plaisir de le lire et j’y en avais trop trouvé moi-même pour le refuser à mon ami. C’est lui qui se chargera de le rendre à monsieur Constant.

« Au moment de mon départ, j’aurais bien d’autres remerciements à addresser aux habitants de la Chablière pour leur aimable obligeance et leur bon voisinage, dont

  1. MCC. Bibl. de Genève, ainsi que les lettres suivantes.