Page:Achard - Rosalie de Constant, sa famille et ses amis, II, Eggimann.djvu/315

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

On nous demandera pourquoi les lettres qu’il a reçues des princes et princesses ses protecteurs restèrent entre les mains de Rosalie et de Charles. Nouveau point d’interrogation. Probablement, connaissant le goût du frère et de la sœur pour les « paperasses », leur laissait-il ces dépouilles en quittant Lausanne. A-t-il repris son portrait à ce moment ? C’est ce que nous ignorons.

Ce n’est pas en 1801, mais en 1803 que nous le retrouvons à Lausanne avec son amie et le fils de son amie.

Ils y restèrent jusqu’en 1804 et voici le dernier billet du Commandeur que nous trouvions à l’adresse de Rosalie :

Elle le reçut à Fenalet où nous l’avons laissée.


« S’éloigner de vous et vous regretter, mademoiselle, sont deux verbes absolument synonimes. La grammaire ne serait peut-être pas de cet avis, mais le cœur en est et il doit l’emporter sur elle. Quand vous respirés l’air pur des montagnes que vous accumulés des richesses botaniques… nous malheureux nous dirigeons nos pas