Page:Acker - Petites Confessions, sér1, éd3.djvu/250

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mon fauteuil, tout près d’un maître cher, je ne pouvais trop retarder l’heure de son déjeuner. Je me levai, M. Renard aussi, je marchai sur la queue du chat qui revenait et s’enfuit, et je trébuchai quelques pas. Paternel, M. Renard ouvrit la porte :

— On me reprochait, dit-il, de ne pouvoir écrire une pièce en cinq actes. Voilà maintenant que j’ai écrit trois pièces d’un acte, et une autre de deux. N’est-ce pas la même chose ?…