Page:Ackermann - Contes et Poésies, 1863.djvu/248

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Je voudrais bien que le ciel nous rendît
Le vieil Éden, celui qu’Adam perdit.
Il me suffit, j’y trouve toutes choses,
La paix du cœur, des ombrages, des roses
Et l’être aimé. Que vous faut-il de plus ?
Je quitte, moi, le bon Dieu du surplus.