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À TIBURCE

Adieu, mon bien-aimé ; ne souffre pas de mon absence comme je souffrirai de la tienne. Je t’aime d’un amour agrandi par le sacrifice.



À MÉLISSANDRE

Je l’ai reçu et serré au plus profond de mon cœur, l’ineffable aveu d’un amour agrandi. Cet amour est entré en moi comme un nouveau principe de vie, je le sens se répandre dans mes veines et devenir la source même de ma puissance. Grâce à lui, c’est le renouveau. Il me purifiera