Page:Adam - L’Enfant d’Austerlitz (1901).djvu/459

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le silence qu’il résolut de garder sur les défauts de la jeune fille ; mais toute révélation n’eût-elle pas fait souffrir l’infortuné et détruit l’espérance de tante Aurélie, du père mort, qui s’étaient promis jadis de consommer par le mariage de leurs enfants l’union de leurs âmes fraternelles ?