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Dans le clair-obscur du crépuscule où seul le ciel luit ; dans le silence du soir à peine troublé par le sanglot de jets d’eau invisibles, autour de Gérard Maleine et de ses yeux lointains, parmi les allées droites de la villa d’Este, bordées de cyprès parallèles, en face du palais maintenant obscur, les souvenirs en lents cortèges passent, pour disparaître.

Fantômes…