Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/74

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Le long de ce p’tit bois charmant,
Quand on voit c’la qu’l’on est content !
Un’ demoiselle va s’y promenant,
Quand on voit c’la qu’l’on est bien aise ;
Un’ demoiselle va s’y prom’nant,
Quand on voit c’la qu’l’on est content !
Un beau Monsieur va la suivant,
Quand on voit c’la qu’l’on est bien aise ;
Un beau Monsieur va la suivant,
Quand on voit c’la qu’l’on est content !
Ils s’asseyent tous deux sur un banc,
Quand on voit c’la qu’l’on est bien aise ;
Ils s’asseyent tous deux sur un banc,
Quand on voit c’la qu’l’on est content !
Ils se donn’nt un baiser charmant,
Quand on voit c’la qu’l’on est bien aise ;
Ils se donn’nt un baiser charmant,
Quand on voit c’la qu’l’on est content !
Ils s’en revienn’nt tous deux des champs,
Quand on voit c’la qu’l’on est bien aise ;
Ils s’en revienn’nt tous deux des champs,
Quand on voit c’la qu’l’on est content !