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Jeudi 1er juillet
Reçu lettres de Paris ; ils sont bien courageux ; toujours rien de Grenoble.
Vendredi 2 juillet
Ducasson meurt dans la nuit entre mes bras ; Renée et moi faisons l’ensevelissement. Quand je pense que je fais pour un étranger ce que d’autres ont fait dimanche pour mon Paul bien aimé.
Mon permis arrive ; je partirai demain. Lettres à l’aumônier Cabanel, au capitaine Petitpas et à Madame Federlin.
Samedi 3 juillet
Départ pour Paris.