Page:Adrienne Durville, Carnet de guerre 1914-1918 n°6.pdf/17

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reste jusqu’à 2 heures ; je fais ce que je n’ai pu terminer le matin comme soins, températures, médicaments, contre visite et soins. À 5 h. ½ j’ai à peu près fini ; j’écris tout en faisant un tour de temps en temps, et je pars vers 6 h. ½ ou 7 heures. À 9 heures, je viens faire une ronde, la veille étant toujours faite par les infirmiers, et Niel couchant dans la maison.

Samedi 23 octobre

J’ai enfin trouvé le temps de lire le journal ; cela n’a rien de brillant en orient. Julie a reçu une lettre de son frère disant qu’il faut s’attendre