Page:Aimard - Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858.djvu/425

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— Vous vous trompez, lui dit-il, le général est libre !

Cet homme était le Cœur-Loyal.

Un frémissement de joie parcourut les rangs des chasseurs et des Indiens, tandis qu’un frisson de terreur agitait les pirates.