Page:Alladine et Palomides.djvu/117

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
112
Intérieur

L’Étranger

Ils sourient sans bouger… mais voici que le père met un doigt sur les lèvres…

Le Vieillard

Il désigne l’enfant endormi sur le cœur de la mère…

L’Étranger

Elle n’ose pas lever les yeux, de peur de troubler son sommeil…

Le Vieillard

Elles ne travaillent plus… Il règne un grand silence…

L’Étranger

Elles ont laissé tomber l’écheveau de soie blanche…

Le Vieillard

Ils regardent l’enfant…