Page:Aloysius Bertrand - Gaspard de la nuit, édition 1920.djvu/194

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qu’on doit le lire, avant que les commentateurs ne l’obscurcissent de leurs éclaircissements.

Mais ce ne sont point ces pages souffreteuses, humble labeur ignoré des jours présents, qui ajouteront quelque lustre à la renommée poétique des jours passés.

Et l’églantine du ménestrel sera fanée, que fleurira toujours la giroflée, chaque printemps, aux gothiques fenêtres des châteaux et des monastères.


Paris, 20 septembre 1836.