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Page:Andry - L’Orthopédie, tome I.djvu/263

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défaut, de desserrer & d’assouplir les cartilages, qui attachent les os de l’épine les uns aux autres, & c’est de quoi on vient à bout par l’exercice du saut, à raison des angles que cet exercice fait faire au corps, & dont nous venons de parler. Rien, en même temps, n’est plus propre pour faire croître les enfans.

Le port des bras & des mains, celui des jambes & des pieds, contribuent aussi beaucoup à donner à la taille, ou un air dégagé, ou un air gêné. Nous aurons lieu de toucher ce point dans le troisiéme Livre qui suit, en y traitant, comme nous allons faire, des difformités qui attaquent les extrémités du corps.

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