Page:Angellier - À l’amie perdue, 1920.djvu/225

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Pages
XXXVIII. 
Après qu’Eve et Adam, hors du jardin céleste 
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XXXIX. 
Le hibou dit : « Je suis très vieux ; quand autrefois 
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XL. 
Et l’amant dit : « L’amour de mon cœur est si fort 
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XLI. 
Le moucheron lui dit : « De quoi te vantes-tu 
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XLII. 
Et l’homme s’écria : « C’est une injuste loi ! 
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XLIII. 
Et l’étoile lui dit : « Lorsque les cœurs humains 
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XLIV. 
Et l’amant, s’en allant près de sa bien-aimée 
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XLV. 
Tu souhaites parfois une absence, un départ 
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XLVI. 
Si mon amour n’est point l’amour que tu rêvais 
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XLVII. 
Je ne t’ai point connue au bourgeon de ton âge 
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XLVIII. 
Quand je songe qu’un jour, sous des faces ridées 
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XLIX. 
Parfois aux premiers temps, chère âme, où je t’aimais 
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L. 
L’amour nous a conduits auprès d’un puissant fleuve 
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II



I. 
Une baie aux contours très doux, aux flots d’azur 
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II. 
Aux flancs fauves et gris de ces collines sèches 
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III. 
La mer d’un bleu plus froid est déjà sans soleil 
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IV. 
Derrière les coteaux une lumière orange 
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V. 
Faut-il déjà partir ? En cette anse isolée 
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