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CADRANS SOLAIRES.

Je porte , avec ses divisions de en  ; je porte , avec ses divisions de en  ; je porte enfin , avec ses divisions de en , et je laisse en place la ligne , avec ses divisions menant enfin des droites du point aux points de division des trois côtés du rectangle, le cadran se trouve construit.

Si la méridienne, avant de rencontrer l’équinoxiale , rencontrait d’abord la parallèle à la soustylaire, ainsi qu’il arrive dans la figure à la ligne  ; ce serait à son point de rencontre avec cette droite qu’il faudrait marquer en faisant rétrograder en conséquence tout le reste du numérotage.

L’on voit, par cette construction, dont je ne donne point la démonstration, parce qu’elle est facile à trouver, que toutes le lignes horaires sont déterminées par des intersections de droites qui ne forment jamais entre elles des angles inférieurs à

Agréez, etc.

Marseille, le 1.er juin 1816.