Si l’on avait un plus grand nombre de caractéristiques qui fussent pareillement commutatives deux à deux, on arriverait à leur égard, par des moyens analogues, à une conclusion semblable. Il en serait encore de même pour ces caractéristiques combinées avec un ou plusieurs facteurs constans, si ces caractéristiques étaient commutatives deux à deux, non seulement entre elles, mais encore avec chacun des facteurs constans.
Quelles que soient les caractéristiques l’on a identiquement
si donc ces caractéristiques sont commutatives entre elles, on aura
d’où l’on conclura
d’où l’on voit, en se rappelant ce qui a été observé ci-dessus, que ce n’est qu’avec des restrictions qu’on peut admettre l’équation
Les mêmes considérations conduisent aussi à n’admettre qu’avec des restrictions l’équation
lorsque les caractéristiques, sont commutatives entre elles.
- ↑ Voyez, sur ce sujet, la précédente note ; nous n’ajoutons pas d’exemple, parce que nous rencontrerons plus loin un cas où cette équation ne saurait être admise.