Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/18

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ou bien

(16)

de sorte que l’élimination de et entre les équations (14), (15), (16), conduira à l’équation de l’épicycloïde cherchée.

Des équations (15) et (16) on tire facilement, en ayant égard à l’équation (14)

ou encore, en employant toujours l’équation (14)

d’où on conclura, par division,

(19)

ce qui veut dire que la droite menée du point au point décrivant, est constamment parallèle à celle qui va de l’origine au centre du cercle mobile. Cette propriété, analogue à celle qu’exprimait l’équation (6), peut déjà nous faire pressentir à quel résultat nous allons être conduits.

En éliminant entre les équations (14) et (19), on trouve

valeur qui, substituée dans l’équation (17), donne pour l’équation de l’épicycloïde demandée