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ANNALES DU MUSÉE GUIMET


par les mots : qui appartient au Hadha-mâthra, le Vîshtâsp-sâst Nask appartenant au groupe du Hadha-màthra. Remplacer la première phrase du dernier alinéa par : « Le Vishtâsp Yasht est un Vendidad où la conversation révélatrice a lieu entre Zoroastre et Vishtâsp au lieu de se faire entre Auhrmazd et Zoroastre. »

P. 13, l. 11, supprimer les mots, où le froid règne, qui appartiennent au Vp. I, 2.

P. 16, n. 60. — Cf. vol. II, 317 et Afrîngàn Dahmân.

P. 16, n. 54. — Cf. vol. II, 306.

P. 17, n. 63. Ecrire hvadhàtanàm.

P. 19. Au lieu de § 22, lire § 23.

P. 25, n. 2. gâh, gâs, moment du jour, n’est point identique avec gâh, gâs, lieu (du perse gâthu), mais avec gâh, gâs, la Gâtha : hâvan gâs est proprement « [le temps où l’on célèbre] les Gàtbas de Hâvani » (Nirangistân, 46 ;. Le nom des gâhânbâr a la même origine, car « célébrer les Gâhânbârs » se dit « chanter les Gâthas » (v. Nirang., § 41, n. 2 ; § 42, n. 2, etc.).

P. 26. Voir les subdivisions naturelles de la journée, vol. II, Vd. XXI, n. 9.

P. 26, n. 5. Cf. uz-irô, l'après-midi, de uz et ayar.

P. 30, 4e ligne à partir du bas. Remplacer les mots v. Introduction au Vendidad par la note suivante Maçoudi, II, 156 ; Agathias, II ; Lettre de Tansar :

P. 31. On voit par la lettre de Tansar que chacune des quatre classes avait un instructeur, un mu'allim, chargé d’instruire les enfants de cette classe aux métiers et aux sciences qui lui sont propres. Par exemple, il y avait un mu'allimi asdvîrat, chargé d’aller dans les villes et les villages pour y initier les gens de guerre au port d’armes et aux différents exercices de leur métier.

P. 33, n. 1. L’almanach cappadocien donne une forme encore plus fidèle : τεθευσία.

P. 37, n. 8. Ajouter : cf. Yt. XIII, 86.

P. 40. Étendre la boucle de Hama jusqu’à Mihr ; abaisser le commencement de celle de Zayana à Abàn. — Sous Hamaspathmaêdaya, remplacer 15-20, par 11-20, ou 16-20 (selon que l’on fait durer la fête cinq ou dix jours : cf. vol. II, 503, note 11).

P. 42, n. 1. Lire âyêsê.

P. 50, n. 12. Sur gâm baoiryûm, voir Nirangistân, § 66, n. 5 : cf. Yt. V, 130, n. 170.

P. 54, § 20. Au lieu de « qui brandit l’arme », lire : « à l’arme étourdissante » (cf. Yasna LVII, n. 4).

P. 57, § 2. Au lieu de 2 (10), lire 2 (4).

P. 58, § 8. Au lieu de « pureté », lire « sainteté ».

P. 74. Mettre 27 devant Yênhê hâtâm. Ajouter : 28. yathâ ahû vairyô.

P. 76, n. 7, l. 1. Ajouter après les guillemets les mots (le Myazda réservé aux fidèles).

P. 83, l. 3. Lire : « c’est à lui du moins que le Dînkart attribue... ».

P. 88, dernière ligne du texte : au lieu de « souillée », lire « bouillonnante » ; remplacer la note 37 par les mots : « Voir vol. III, p. 21, §§ 32-33 et note ; et p. 59, § 32 et note 1. »

P. 89, n. 38. Cf. le Livre des Rois, tr. Mohl (éd. in-8o), IV 7, 495.

P. 89, n. 39. Cf. Dâdistàn, XLVIII, 16 ; Zàd Sparam, XCI, 10, note.

P. 90, n. 45, ajouter : cf. vol. II, 319, § 28.

P. 90, n. 49, ajouter : cf. Yt. XXIV, 39.