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ANNALES DU MUSÉE GUIMET

CHAPITRE III

P. 15, l. 4. lisez « faisaient lire les Vêdas aux Brahmanes » au lieu de « feuilletaient les Vêdas et les Brâhmanas ».

P. 17, l. 9, après « ne dites pas de mensonges », la version tibétaine ajoute : « Ne dites pas d’injures, ne faites pas de discours trompeurs, ne dites pas de paroles dédaigneuses, ne vous laissez pas aller à l’égoïsme, ni à des pensées de cruauté ; n’adoptez pas des vues fausses ; ne soyez pas indulgents pour qui ôte la vie ; ne soyez pas persuadés par ceux qui ont des vues fausses. »

P. 17, l. 8 en remontant. « Appuyé sur 7 membres, c’est-à-dire sur les 4 pieds, les 2 défenses et la trompe.

P. 20. Les Pratyêkabouddhas dont il est question ici sont assimilés à des Rïchis, puisque le nom du lieu où ils entrent dans le Nirvâna complet est nommé Rïchipatana.

Ib., l. 13, lisez : Gôlângula°. Ce mot se trouve dans le Râmâyana, l. 1, sarga 16, slôka 21 de l’édit. de Schlegel. C’est le nom d’une espèce de singe. Ce moi signifie « queue de vache (qui a une) ».

P. 21, l. 2. Comme les Brahmanes les Bouddhistes admettent le renouvellement du monde à la fin des kalpas, quand il a été détruit par l’eau, le feu ou le vent.

P. 22, l. 1. « Cette famille est apparue [dans ce monde) par l’effet de petits mérites, etc.

Le texte sanskrit donnerait ici : Cette famille découle (abhichyanditam)