Feuille 149. — Description de leur rencontre ; — leurs compliments mutuels et leur conversation (en vers).
Feuilles 150-152. — Enseignement religieux ; la race Çâkya adopte le bouddhisme, et il n’est pas de famille ou de maison dont un membre n’entre dans la vie religieuse[1]. Histoire de plusieurs individus de la famille de Çâkya.
Feuille 164. — Ñe-Var-Hkhor[2], barbier des Çâkyas, entre dans l’ordre ; — il acquiert une grande perfection ; — c’est à lui qu’on attribue la compilation du Dul-va.
Feuille 171. — Histoire de Kohudinya, un des principaux disciples de Çâkya et aussi de quelques autres personnages[3].
Feuilles 242-3. — Kun-dgah-vo (sk. Ananda) est déclaré le premier disciple de Çâkya.
Feuille 341. — Lus-Hphags-mahi-bu-Ma-skyes-Dgra[4] cause la mort de son père Bimbasâra[5] : — qui le console dans ses grands troubles et son anxiété.
Feuille 349. — Lhas-Sbyin ou Lhas-byin, un des cousins de Çâkya. — Sa grande haine et méchanceté envers Çâkya. — Çâkya cite plusieurs exemples et raconte plusieurs apologues moraux en les appliquant à lui-même et à ce Lhas-sbyin ou à quelque autre individu, car le nom de Lhas-sby’in (sk. Devadatta « Donné par un dieu (Deva) ou par les Devas » ; c’est l’équivalent de « Dieudonné ».) désigne fréquemment tout caractère méchant ou tout homme pervers.
Feuille 392. — Détails sur les moyens employés par Lhas-sbyin pour causer des divisions parmi les disciples de Çâkya[6], qui raconte plusieurs histoires et les applique tant à Lhas-sbyin qu’à Ma-skyes-Dgra, le roi de Magadha, pour montrer les mauvaises conséquences de l’immoralité.
- ↑ Tout ce qu’on vient de lire est répété dans les mêmes termes ou avec de très légères variantes au volume VI. (L. F.)
- ↑ En sanscrit : Upâli. (L. F.)
- ↑ Cette partie de l’analyse est malheureusement trop sommaire. (L. F.)
- ↑ En sanscrit Vaïdeha Ajâtaçatru.
- ↑ Est-ce euphémisme ou ignorance ? Ajâtaçatru a été le meurtrier de son père. (L. F.)
- ↑ C’est pour en arriver là qu’on a raconté toute l’histoire de Çâkyamuni, de ses ancêtres et des origines du monde depuis le folio 418 du volume III ; car nous sommes toujours dans la section XVI relative au crime consistant à « causer des divisions parmi les prêtres », laquelle commence Dulva III, folio 417. Csoma a remarqué qu’il n’en est pas dit un mot à la fin du volume ; en effet la fin du volume III et les 301 premiers feuillets du volume IV ne sont qu’un préambule, une introduction à cette section d’ailleurs très importante. (L. F.)