Page:Annales du Musée Guimet, tome 21.djvu/406

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
260
ANNALES DU MUSÉE GUIMET


|ilus pai’failo pensée de sainteté. Et parmi eux -" c’est loi qiio nous prenons (avant tous] pour recevoir-’ de loi et pour nous instruire --. 10. Car plus qu’Aslia, plus que Vohu Manô et que le bon Khshathra, ta glorification est au-dessus de toute glorification, les paroles qui te sont adressées au-dessus de toutes paroles-’, le sacrifice qui t’est otlert au-dessus de tout sacrifice.

Yênhê hâtâm (i» fois) -

•20. Parmi les Amstiaspauds.

-2i. >i C’est, (le toi, entre tous les Amshasiiaiids, ((iic nous recevons le plus ■• Ju l’onnaissaiiee, la vi'riti'>].

’22. fradaklishtàreui « démonslratein- ». C’est Alnira qui inslniil de la façon la plus convaincante. . Id, r ! c.

’23. Peut-être : " tes paroles sont an-dessiis de lonti’s les paroles ". — Lire tlnvà Rvec .1% K’.

24. Récité denx Ibis, dit le S/nii/n.ii, MU, 21, nne fois pour l’éloge d’Auhrmazd et des Amshaspands, une fois pour la destruction d’.Miriman et de ses monstres.