La difficulté de ces textes vient de l’absence de régime au verbe paitibarôit et de l’incertitude du sens précis à attacher aux mots madhemâi, fratemâi, haotemâi, dashnôtemâi. Mais les nirangs pehlvis prouvent que c’est le zôhr qui fait le tour du Barsom ; quant aux termes madhemài, fratemâi, haotemâi, dashnôtemâi, ils répondent aux termes miyanac, rôishâ, hôitar, dashantar, ce qui détermine leur sens et prouve que madhemài Baresmân est « le milieu du faisceau du Baresman », fratemâi, l’extrémité antérieure, « la tête ».
Le symbolisme de ces opérations est transparent : le Baresman représente la nature végétale, le zôhr représente les eaux : on met le zohr en contact idéal avec le Baresman pour pénétrer toute la flore des vertus de l’eau et féconder la terre.
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