Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
A TOI, chère ESOU-LI ! Toi qui ne m’aimes plus !!!
D’un bonheur éphémère, ô regrets superflus !
Mes beaux jours, dans tes bras, ont passé plus rapides
Que le vent du désert soufflant aux Pyramides !
AL-CHEIL.
(HISTOIRE D'ESSOU-LI.
CHAPITRE DES CAPRICES.)