ci, sont le plus souvent rédigées dans un style recherché et emphatique dont les Japonais, comme les Chinois, font le plus grand cas. L’interprétation des morceaux de ce genre présente des difficultés exceptionnelles dont il est bon de fournir un exemple aux personnes qui veulent étudier la littérature des insulaires de l’extrême Orient.
e prise à une haute valeur l’homme qui, sans avoir une capacité universelle, sait approfondir une étude et arrive de lui-même à traiter de toutes sortes de choses. Or, il est un livre intitulé « Pièces de vers des Cent poëtes », qui, transmis des temps anciens jusqu’à nos jours, est devenu un ouvrage d’instruction universellement adopté depuis la jeunesse jusqu’à l’âge mûr. Son mérite est tel que le pinceau ne peut que difficilement le décrire. C’est pourquoi Ozaki Masa-yosi, des environs de Nani-va[1] qui a réuni de toutes parts une quantité innombrable de renseignements[2] des-