« 2. — Signe d’Argent, vaudeville en trois actes, du même ;
« 3. — Le dernier Jour d’un Condamné, drame en trois actes, par M. Tisserant ;
« 4. — Un Caprice, vaudeville en un acte, par M. Lemercier de Neuville ;
« 5. — Les Jeux de l’Amour et du Bazar, comédie de mœurs, du même auteur ;
« 6. — La Grisette et l’Étudiant, comédie en un acte, par M. Henry Monnier ;
« 7. — Scapin maquereau, drame en deux actes, par M. Albert Glatigny.
« D’autres pièces avaient été commandées. M. Théodore de Banville avait promis une comédie en prose, et M. Champfleury une comédie en vers.
« Des lettres d’invitation, imprimées chez Claye, furent envoyées aux personnes dignes d’entrer, et le 27 mai 1862, nous l’avons dit, le théâtre fut inauguré, en présence de MM. Paul Féval, Charles Bataille, Carjat, Alcide Dusolier, Émile Durandeau, Alphonse de Launay, Champfleury, Demarsy, Darjou, Charles Monselet, Poulet-Malassis, Tisserant, Charles de la Rounat, Debillemont, Duranty, Albert Glatigny, Jules Moineaux, Louis Ulbach, le colonel Lafont, Alphonse Daudet, Théodore de Banville, Henri Monnier, Léo Lespès, Orner de l’Ambigu, et de Mlles Guimond et Antonia Sari.
« Un journal du temps, le Boulevard, donna le compte-rendu de la première représentation, dans son numéro du 1er juin 1862 ; c’était de la prose de Carjat lui-même, écrivant chez, lui ; bel exemple pour la Revue des Deux-Mondes :
« La façade du théâtre, peinte par Darjon, mérite une description spéciale, — mais Prologus va remplir sa tâche, — Prologus, c’est-à-dire un bouffon personnage, à qui Jean