Le débardeur homme. — Ne me parlez pas des hommes en carnaval pour s’amuser : heureusement, moi, la mienne est mariée : on me la tient.
Le postillon. — Moi, la mienne est mariée aussi, mais avec moi… ça fait que je la tiens moi-même.
Un domino qui passe. — Je les tiens tous les deux… Ils vont me le payer.
« Eh bien ! on dit que certain colonel se marie… te voilà veuve, ma pauvre bayadère.
— Hélas, oui, mon pauvre baron, et ta femme aussi. »
Deux débardeurs, homme et femme :
« Agathe et toi, mon vieux Ferdinand, ça ne sera pas long ; cette petite-là est trop rouée pour toi parce que t’es plus roué qu’elle… et pour que ça dure faut toujours qu’un des deux pose d’abord. »
Deux débardeurs, homme et femme :
« Voyons si tu te souviens ! numéro ?