Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences - Astronomie populaire, tome 4.djvu/207

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1816. Aérolithe à Confolens (Aude). (France pittor., tome i.)

? 1817, entre le 2 et le 3 mars. Probablement des masses sont tombées dans la mer Baltique : après l’apparition d’un grand météore à Gothenbourg, on a vu, à Odensée, une pluie de feu descendre très-rapidement vers le sud-est. (Journaux danois.)

? 1818, 15 février. Une grande pierre paraît être tombée à Limoges, dans un jardin au sud de la ville. Après l’explosion d’un grand météore, une masse qui tomba fit dans la terre une excavation d’un volume égal à celui d’une grande futaille. (Gazette de France et Journal du commerce, du 25 février 1818.) Il aurait fallu et il serait encore convenable de déterrer la masse.

1818, 30 mars. Une pierre près de Zaborzyca, en Volhynie, analysée par Laugier. (Annales du Muséum, 17e année, 2e cahier.)

1818, 10 août. Une pierre est tombée à Slobodka, dans la province de Smolensk, en Russie, d’après plusieurs journaux.

1818, 6 septembre. Aérolithe à Kilkel, en Prusse. (Kæmtz.)

1819, 13 juin. À Jonzac, département de la Charente-Inférieure, des pierres ne contenant pas de nickel.

1819, 13 octobre. Pierres près de Politz, non loin de Géra ou Kostritz, dans la principauté de Reuss. (Ann. de Gilbert, tome lxiii.)

1820, entre le 21 et le 22 mai. Pierres dans la nuit, à Œdenburg, en Hongrie. (Hesperus, t. xxvii, cah. 3.)

1820, 12 juillet. Pierres près de Likna, dans le cercle