Page:Archives israelites 13.djvu/247

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rsasinrrns. Ml ' genees blàmables, car si l’on sait trouver les adresses des per- sonnes quand il s'agit de quêtes, il faut aussi se rappeler les noms des contribuables quand il y a des invitations à faire. On aurait pu en faire d’autant plus qu'il est arrivé là ce qui arrive toujours quand `on mesure trop scrupuleusement les invitations sur le nombre des places; il est restéplusieurs places vides. Après cette part faite àla critique, et dont une bonne portion re- vient au Consistoire de la circonscription à qui remonte le bien que font les administrations qu’il nomme, mais qui est aussi responsa- ble quand le contraire a lieu, le Consistoire devait donc s'assurer si tout a été fait convenablement; après ces réserves, nous nous plaisons à reconnaître que les membres de l‘administration du temple ontfait preuve de bonne volonté, mais ils manquent de l’ex· périence nécessaire en pareil cas; il y a eu au dehors beaucoup de mécontents, mais tout s`est passé dans l’enceinte avec ordre et conformément au programme. La cérémonie était belle; le temple éclairé à giomo était ma- gnifique ; peut-étre cette solennité était·elle un peu théâtrale, peut·étre n’avait—elle pas un caractère vraiment religieux. ll y avait a la cérémonie un membre du Consistoire de Mar- seille, M. Valabregue; un de celui de Nancy, ll. Picard, et un de celui de Metz, M. Schwab. Ce dernier doit avoir trouvé la cé- rémonie inférieure à celle · eut lieu pour l‘inauguration du temple de Ilets. ` Qu’on fasse porter des Sepharim à des hommes distingués qui viennent rarement au temple, il n'y a rien à redire; mais est·c• que dans tout Paris il n‘y a pas deux ou trois vieillards respecta- bles, dont la piété méritait bien l’honneur de porter un Sophsr? A Metz, L l’entrée du cortége, des fanfares se tirent entendre, la garde nationale présenta les armes (on pouvait la remplacer par la troupe), les tambours battaient aux champs. Ce moment était solennel. · · Tout cela avait été réglé dans un programme arrété, il y n sit mois. llais le tîonsistoire l’a laissé dans ses cartons, avec le travail de le commission pour la réunion des rites l ~ L’orgue produit toujours un bon elïet; mais pourquoi n’avoir pas coulé le soin de le toucher A l'un des jeunes art.istesisr•éB• l Digilized ny Google