Page:Archives israelites 13.djvu/258

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· 152 AIGIITI Nous espérons que cet appel sera entendu, et que la piété des fidèles, à Marseille comme ailleurs, aidera à réaliser les loua- ·bles desseins de Padministration israélite, confiée à de si sûres mains. ` arena sua LB mvmn nr LA caaituomn nm ’Hal£tza. (l'i!*‘7|'1't ¤1Zl*)· (Fiu. - Voir numéro du 29 février, p. l29.) 7 Il Mais ceux-là mêmes, qui considéraient une pareille démarche comme trop hardie et comme attentatoire à la loi divine, ïpensant qu’il faut suivre aveuglément les lois de Dieu, sans s‘informer de leur motif mémelorsqu’il nous est clairement indiqué, et qu’il faut obéir à la lettre d'une loi quand même le but dela loi a cessé d’exister, tout aussi bien que lorsque, par cette obéissance, on atteint un but conforme à la volonté de Dieu, ces hommes ti- · morés pourraient cependant consentir à ce qu’on délivrât les ` veuves de la contrainte inhumaine qui les retient dans un veuvage indéfini quand leur mari, mort sans enfants, bien qu’ayant un frère, celui-ci ne peut plus être trouvé à sa mort. On ne peut nier que cette contrainte ne se trouve aucunement dans la volonté de la loi_et ne soit une injustice criante d'au- tant plus frappante de nos jours. La loi sur le lévirat commence par ces mots: Lorsque des frères demeurent ensemble 12lW* *3 1'tl‘l'¤’|"|ht Soutenir que le législateur veutque saloi donnée po- aitivement pour un cas clairement déterminé, soit exécutée dans tous les cas sans exception et que même là où cette exécution ¤`est plus possible, quand le frère obligé au lévirat n'est plus là il est défendu à l’innocente veuve de convoler en secondes noces, défense dont le législateur n’a pas donné la plus légère indication, n'est-ce pas manquer au plus simple bon sens? Car en disant: La femme du mort M doit pas au dehors devenir celle 'mgmzen ny Google L