IM nana! près tixes sont celles qui sont destinés à remplir le but des fonda- tions sus-énoncées. La mison de secours, jadis ne des 1'mis-Bornes, et aujour- d’hui rue Picpus, a son budget à part dans le budget général. Ses dépenses sont demeurées à peu près au même ehifre, àune légère diminution près dans le courant de l'aunée demière, 15,885 fr. en 1850, 13,015 fr. en 1851. Le simple exposé des recettes et des dépenses nous suggère des observations qui ne nous paraissent pas manquer d’intérèt. Recettes. Le montant dessouscriptioas annuelles n’a pas subi d‘•ccruis· sement appréciable (9,220 fr.eu 1850, 10,059 fr. en 1851):il j 3 là Yindiœ d'un statu quo complet. Les dons sans destination ont décru de près d’un quart (8,451 fr. en 1850, 6,758 fr. en 1851). Les dons pour la maison de secours n’ont guère varié (plus de 16,000 fr. la première année, plus de 17,000 fr. la seconde): dans ce chilïre est compris la part du comité dans le produit de la loterie, part qui n’est la seconde année que de 1,000 fr. supé- rieure (9,968 fr. en 1850, 10,991 fr. en 1851). Le produit des troncs et quêtes dans le temple est resté à peu près le mème (1-,286 fr. en 1850, 1,809 fr. en 1851). haquéte pour achat de bois a subi une légère diminution en 1851 (2,137 fr. contre 1,767 fr.), Par compensation, la quête à Poccasion des fêtes de Pâques a subi une certaine augmentation (en 1850, 4,630 fr., en 1851, 5,512 fr.), Enfin, l‘intérèt des fonds placés pour la maison de secours a subi une diminution considérable d'environ 1,200 fr. (5,277 fr. cn·1850 contre 4,059 en 1851), sm doute par suite des irais occasionnés par l’ouverture de la maison de la rue Picpus. Nous signalons, comme chapitres nouveaux au budget des re- cettes en 1851 : 1° Don de M. Benoit Fould, pour dix livrets à la caisse de re- - traite pour la vieillesse , dœtinés à autant d‘ouvriers israé- Jitct. son ti-.
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