553 gamine Mais Israël pesditses plus sainm venus, Pour le punir eneorsïsvxnœ Autiedius, Terreur des ennemis, farouche et sanguinaire Du plus pur sang des Juifs il arrosala terre. · Que je voudrais chanter ta ·va!em··ô Judas (rt) Et louer dans mes vers la force de ton bras; Tandis que l’ennemi se repose et sommeille Ton courage s’ément, et l’Hébreu se réveille. Frère d’un telhéros, ·on vovyaitlonathas L`imiter dans le paix, l’égaler:aux combats. Tous les Asmonéens à Dieu furent iidèles Et mirent leurs efl'orts à l‘ombre de ses ailes. Ma plume a tressailli !... Seigneur inspirm-msi, Jérusalem n’est plus! Boulevard dela foi Elle e vu s’éorouler ses remparts,.ses mumâllœ, Et nîapoint invoqué le vainqueur des batailles. 'Kaum Cmao, Élève de rhétorique de St-Esprit. LES ISKAÉLITES DES È‘l‘£'l‘S—U'NlS D'As!ÉI.lQ1IE. Correspondance particulière des Archives Israélites (2). Si le cadre que je me suis prescrit dans ces aperçus, le compor- tait, ce serait une belle occasion pour peindreàgrands traits, à la Bossuet, ]’origine, la filiation et Pavénement définitif des juifs en Amérique, ainsi que la société américaine elle—même, si intimement liée à mon sujet. Mais ce beau thème a été trop sou- vent et trop bien traité pour que j’y touche. Il n’entre d'ailleurs pas dans mon plan de rechercher le passé, mais bien d‘exposer quelques idées, de répandre quelques notions exactes sur la con- (f) Judas Maclxabée. (2) Voy. u° de mars, p. 155, unerticle du méme auteur; nous avons cru devoir, par une fausse interprétation de sa lettre sans Honte, omettre son nom; nous nous empressons de le lui restituer. A
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