nanaaus. 63 enriincunicesennnhienrédqnehdiqniwüiendeoette ' hnese ügne de dïeatinn. Il n’y a plus anjourfhui dansle iuùiunelrmçaü qne tx·oiscatégn¤ios,debiu inégal nonbreet de bin inépleinçortamoe. Ilœùdiféreus, ponrqnila vie des croyances n’est rien;la satisfaction de leurs passions ou de leur unité, tout. - . Les faurbes, dont le nombre ira décroissant avec leur faux semblait d‘autorité. · Enfin, les zélés, les actifs, ceu qui ont le cœur et lime et l’i·ntelligence israélites, quel que soit le degré de leur üdélité mx pratiques, quelle que soit la limite de Ienr dévotion extàieure, pourvu q¤’il·s vivent de ia vie israélite, et que nos recherches, nos intérêts, nos droits, nos progrès ne leur soient point indif- r (érents : ceux-là sont la vie, ceux-là sont l’esp0ir et l`honnenr ` du monothéisme juif : pour qui n'a ni un écu, ni une heure à donner à la cause israélite, la polémique est superllue et la ré- · forme toute faite : pour ceux au contraire qui sentent vibrer en ` eux des cordes à Funisson des sentiments qui nous animent, ` pour ceux-là nous saurons travailler sans nous lasser, et creuser le sillon pénible où un laboureur infatigable récolte toujours quelque cboœ, nous semerons sans relâche, dussions-nous lais- ser à d'autres le soin de récolter. _ · Pour la rédaction Als. Cinmr.
A CULTE. àmns son ur. mvmr nr n cumiuonm nm ’Halüza. <nw‘7n·e nui). . La cérémonie dont il s’agit a souvent provoqué les réflexions des honunes considérables parmi nos coreligionnaircs, lesquels, sans êtredes réformistes, sont pourtant frappés des inconvénients graves que cette cérémonie entraîne, et plusieurs lois nous · i Digilized ny Google
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