Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/679

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

C11 du continent. Une partie du service divin se fait en anglais, le texte des versets se lit dans cette langue, de même que la prière pour la congrégation. (Test à ce temple qu’appartiennent les fa- milles originaires du pays, c’est-à-dire les descendants des pre- mières familles qui vinrent y planter le drapeau i sraélite; mais les deux congrégations vivent en parfaite harmonie. Elles pronon- cent toutes deux l’hébreu à la manière des Portugais. Chose digne deremarque, les jeunes dames fréquentent l’oflice de Pune et Tantra synagogue avec plus de régularité que leurs maris. On 11*1 pas à rougir ici du nom d’israélite, les sommités de la société tinancière et industrielle appartiennent à notre comm union. Les pnemiœs magistrats, le gouverneur de la banque, et, c e qui plus ut., les premi ers ofticiers militaires, sont des israélites. Jaw. Chron. — Londres. `Une jeune cantatrice israéliie, miss Estl1e)r Jacob, ·a donné,·le 26 novembre dernier, un grand concert à- Sussex- 'llall, et a mérité les applaudissements unanimes d’une très-nom- breuse assemblée. Piémont. -- Verceil. Les israélites possèdent dans cette ville une in- Stitution de bienfaisance éminemment remarquable, dite Opem de Fon. Elli Emmanuel Foa légua, en 1796, toute sa fortanezà la congrégation, à charge de fonder une école. La liquidation des biens du généreux testateur s’estprolongée jusqu’en t828, etelle denna pour résultat une somme de 200,000 fr. On érigea et ou- vrit alors un college pour lienseignement de l’hébreu, de la reli- gion, de la langue et~de la littérature italiennes, de Yhistoire, de ·la géographie, etc. Les enfants de la classe indigente y reçoivent Iton-seulement Pinstruction gratuite, mais on leur fait encore une pension de 230 fr._ depuis l’âge de neuf à dix·huit ans, et cette allocation leur est maintenue pendant un certain temps en- core après leur sortie dnpprentisw à la seule condition de suivre les cours particuliers du college aux jours de fête. Il y ra 'unssi dans cet établ is sement une classe de chant pour l`instruc— tion des choristes de la synagogue. -Nous recommandons vivement à nos lectricesla Revue dc Téducation, journal des mères et des enfants. C`€St un excellent recueil qui iztsteuiten amusant, à latnis, lesenànts et les mères qui savent apprécier Pimportance d’une bonne éducation. " ` `ERRà TA. i N° du ler décembre, p. 6·30,·l. 23 jul`, lisez l Idëin, BI! IDOIIÉRBÈ HSBZI U:. .• i Idem, 121118 llgllë Bil l’Il0lllL8l1É , IIIÉIDB fütltê C0l‘l’lg¢I'• Idâly . 62?, d¢I`l1i$l‘ Blàâ 2 Mt ü' à ¢œ|1I‘,