Page:Aristote Metaphysique 1840 2.djvu/329

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NOTES.


LIVRE SEPTIÈME.


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Page 3. Premier s’entend dans différents sens : toutefois la substance est absolument première sous le rapport de la notion, et de la connaissance, et du temps, et de la nature. Bekker, p. 1028 ; Brandis, p. 1028 : … ὅμως δὲ πάντων ἡ οὐσία πρῶτον καὶ λόγῳ καὶ γνώσει καὶ χρόνῳ.

Nous avons ajouté, comme on voit, au texte de Brandis et de Bekker. Mais c’est sur l’autorité des manuscrits mêmes de Bekker, sur l’autorité de tous les anciens éditeurs qui donnent ὅ. δ. π. ἡ. o. π. κ. λ., κ. γ., καὶ χρόνῳ, καὶ φύσει et aussi parce qu’il nous a semblé que sans ce mot φύσει il manquait quelque chose à l’idée d’Aristote.

Page 4. Sont-ce là les seules substances ? y en a-t-il d’autres encore ; ou bien aucune de celles-ci n’est-elle substance, et ce titre appartient-il à d’autres êtres ? Bekker, p. 1028 : Πότερον δὲ αὗται μόναι οὐσίαι εἰσὶν ἢ ἄλλαι, ἢ τούτων μὲν οὐθὲν ἕτεραι δέ τινες

La leçon de Bekker, à laquelle nous nous sommes conformés, est celle des anciennes éditions. Brandis, p. 129, intercale entre les mots ἄλλαι et ἢ τούτων μέν, ces autres mots : ἢ τούτων τινὲς ἢ καὶ ἄλλων. Les mss. E et T de Bekker autorisent