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LIVRE DOUZIÈME..

(Λ).

I. De l’essence 202

II. De l’essence susceptible de changement, et du changement. 204

III. Ni la matière, ni la forme ne deviennent. 207

IV. Des causes, des principes et des éléments. 209

V. Des principes des êtres sensibles. 212

VI. Il faut qu’il existe une essence éternelle, cause première de toutes choses. 216

VII. Du premier moteur. De Dieu. 220

VIII. Des astres et des mouvements du ciel. Traditions de la plus haute antiquité touchant les dieux. 221

IX. De l’Intelligence suprême. 233

X. Comment l’Univers renferme le souverain bien. 236


LIVRE TREIZIÈME..

(M).

I. Y a-t-il, oui ou non, des êtres mathématiques ? 241

II. Sont-ils identiques aux êtres sensibles, ou en sont-ils séparés ? 244

III. Leur mode d’existence. 250

IV. Il n’y a pas d’idées au sens où l’entend Platon. 254

V. Les idées sont inutiles. 258

VI. Doctrine des nombres. 260

VII. Les unités sont-elles compatibles entre elles, oui ou non ? et si compatibles, comment ? 264

VIII. Différence du nombre et de l’unité. 271

IX. Le nombre et les grandeurs ne peuvent avoir une existence indépendante. 280

X. Difficultés touchant les idées. 280