Page:Arnac - Le Brelan de joie.djvu/266

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vous faire gagner de l’acquis ? Peut- être apprenez-vous d’elles à leur insu ? Cela est très avisé — mais pour moi, qui suis tout d’une pièce, quel profit voulez-vous que je tire d’une qui n’en saura pas plus long que moi ? Tandis qu’une bien aperte me fera tirer en finesse ce que je perdrai en plaisir ! Ah ! c’est grand dam que j’aie marché sur la queue du chat, buté contre le chien, renversé la table et chu sur l’âne ! J’aurais grandi en savoir !

— Verte-moute ! ne regrette point les oignons ! Tu auras occasions d’en pelurer d’autres ! Nous irons par tous pays, et, pour te farcir de science, tu pourras compulser vieux almanachs si ça te chante ; pour moi, je ne mettrai mon nez qu’en in-seize, dix-huit ou vingt-quatre !


Comme il conclut, un rustaud vient à lui, et tout de go, lui demande :