Page:Arnaud - De la frequente communion, 1643.djvu/229

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devant Dieu, et de loüange devant les hommes : voila ce qui le deffend contre les attaques de l’ignorance, ce qui le justifie contre les accusations de la calomnie, et ce qui l’absout, comme entierement irreprochable devant les sçavans et les vertueux. Adrien Ii impose la mesme loy à tous les fidelles, et leur represente en peu de mots, (...). Mais on ne peut rien adjouster aux paroles toutes divines d’un concile de nostre France sur ce sujet. (...).