Page:Asselineau - Le Paradis des gens de lettres, 1862.djvu/68

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pierre, et ruiner en même temps l’édifice de ma fortune et de ma renommée. Incapable de vous comprendre, indigne de vous admirer, je n’ose vous adresser des louanges que vous mépriseriez. Je puis du moins sentir la chaleur du bienfait et l’efficacité de la protection, et vous offrir la fidélité du chien et le dévouement du bon serviteur. C’est pourquoi je vous dis encore une fois : Cette maison et son maître sont à vous. Disposez de l’une comme de votre bien et de l’autre comme de votre esclave.

Et les bienheureux, comme accoutumés à cet accueil, lui souriaient cependant avec bonté. Et, tout en l’écoutant, ils pénétrèrent dans la maison.

Et au milieu de cette maison, était un petit jardin carré, élevé en terrasse, paré de toutes sortes de fleurs et ombragé de