Page:Asselineau - Le Paradis des gens de lettres, 1862.djvu/73

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IX

Et je vis après cela, dans une rue des plus fréquentées au milieu de la ville, une boutique où l’on vendait des livres, et où les acheteurs se pressaient et se succédaient incessamment.

Et quelques bienheureux s’étant présentés devant la porte de la boutique, je vis trois hommes du dedans se hâter de venir à eux et les saluer en se prosternant.