Page:Augier - Théatre complet, tome 5, 1890.djvu/355

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blierai… ou si je ne l’oublie pas, tu en seras quitte pour me garder près de toi toute ma vie… En seras-tu fâché ?

André.

Ô chère Aline ! cher portrait de ma mère ! tu as son âme comme tu as son visage et son nom. (Il l’embrasse.) Allons, je vais chercher un nid ; dans deux jours, nous serons installés… (À part, en sortant.) Elle l’oubliera.