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TABLE DES MATIÈRES.


XXV. La colère de Dieu ne trouble point son immuable tranquillité.
XXVI. Tout ce qui est dit de l’arche de Noé dans la Genèse figure Jésus-Christ et l’Église.
XXVII. On ne doit pas plus donner les mains à ceux qui ne voient que de l’histoire dans ce que la Genèse dit de l’arche de Noé et du déluge, et rejettent les allégories, qu’à ceux qui n’y voient que des allégories et rejettent l’histoire.
Chapitre premier. Si, depuis Noé jusqu’à Abraham, il y a eu des hommes qui aient servi le vrai Dieu.
II. De ce qui a été figuré prophétiquement dans les enfants de Noé.
III. Généalogie des trois enfants de Noé.
IV. De Babylone et de la confusion des langues.
V. De la descente de Dieu pour confondre les langues.
VI. Comment il faut entendre que Dieu parle aux anges.
VII. Comment, depuis le déluge, toutes sortes de bêtes ont pu peupler les îles les plus éloignées.
VIII. Si les races d’hommes monstrueux dont parle l’histoire viennent d’Adam ou des fils de Noé.
IX. S’il y a des antipodes.
X. Généalogie de Sem, dans la race de qui le progrès de la Cité de Dieu se dirige vers Abraham.
XI. La langue hébraïque, qui était celle dont tous les hommes se servaient d’abord, se conserva dans la postérité d’Héber, après la confusion des langues.
XII. Du progrès de la Cité de Dieu, à partir d’Abraham.
XIII. Pourquoi l’Écriture ne parle point de Nachor, quand son père Tharé passa de Chaldée en Mésopotamie.
XIV. Des années de Tharé, qui mourut à Charra.
XV. Du temps de promission où Abraham sortit de Charra, d’après l’ordre de Dieu.
XVI. Des promesses que Dieu fit à Abraham.
XVII. Des trois monarchies qui florissaient du temps d’Abraham, et notamment de celle des Assyriens.
XVIII. De la seconde apparition de Dieu à Abraham, à qui il promit la terre de Chanaan pour lui et sa postérité.
XIX. De la pudicité de Sarra, que Dieu protége en Égypte, où Abraham la faisait passer, non pour sa femme, mais pour sa sœur.
XX. De la séparation d’Abraham et de Loth, qui eut lieu sans rompre leur union.
XXI. De la troisième apparition de Dieu à Abraham, où il lui réitère la promesse de la terre de Chanaan pour lui et ses descendants à perpétuité.
XXII. Abraham sauve Loth des mains des ennemis et est béni par Melchisédech.
XXIII. Dieu promet à Abraham que sa postérité sera aussi nombreuse que les étoiles, et la foi d’Abraham aux paroles de Dieu le justifie, quoique non circoncis.
XXIV. Ce qui signifie le sacrifice que Dieu commanda à Abraham de lui offrir, quand ce patriarche le pria de lui donner quelque signe de l’accomplissement de sa promesse.
XXV. D’Agar, servante de Sarra, que Sarra donna pour concubine à son mari.
XXVI. Dieu promet à Abraham, déjà vieux, un fils de sa femme Sarra, qui était stérile ; il lui annonce qu’il sera le père des nations, et confirme sa promesse par la circoncision.
XXVII. De la réprobation portée contre tout enfant mâle qui n’avait point été circoncis le huitième jour, comme ayant violé l’alliance de Dieu.
XXVIII. Du changement de nom d’Abraham et de Sarra, lesquels n’étaient point en état, celle-ci à cause de sa stérilité, tous deux à cause de leur âge, d’avoir des enfants quand ils eurent Isaac.
XXIX. Des trois anges qui apparurent à Abraham au chêne de Mambré.
XXX. Destruction de Sodome ; délivrance de Loth ; convoitise infructueuse d’Abimélech pour Sarra.
XXXI. De la naissance d’Isaac, dont le nom exprime la joie éprouvée par ses parents.
XXXII. Obéissance et foi d’Abraham éprouvées par le sacrifice de son fils ; mort de Sarra.
XXXIII. Isaac épouse Rébecca, petite-fille de Nachor.
XXXIV. Ce qu’il faut entendre par le mariage d’Abraham avec Céthura, après la mort de Sarra.
XXXV. Des deux jumeaux qui se battaient dans le ventre de Rébecca.
XXXVI. Dieu bénit Isaac, en considération de son père Abraham.
XXXVII. Ce que figuraient par avance Esaü et Jacob.
XXXVIII. Du voyage de Jacob en Mésopotamie pour s’y marier, de la vision qu’il eut en chemin, et des quatre femmes qu’il épousa, bien qu’il n’en demandât qu’une.
XXXIX. Pourquoi Jacob fut appelé Israël.
XL. Comment on doit entendre que Jacob entra, lui soixante-quinzième, en Égypte.
XLI. Bénédiction de Juda.
XLII. Bénédiction des deux fils de Joseph par Jacob.
XLIII. Des temps de Moïse, de Jésus Navé, des Juges et des Rois jusqu’à David.
Chapitre premier. Du temps des Prophètes.
II. Ce ne fut proprement que sous les rois, que la promesse de Dieu touchant la terre de Chanaan fut accomplie.
III. Les trois sortes de prophéties de l’Ancien Testament se rapportent tantôt à la Jérusalem terrestre, tantôt à la Jérusalem céleste, et tantôt à l’une et à l’autre.
IV. Figure du changement de l’empire et du sacerdoce d’Israël, et prophéties d’Anne, mère de Samuel, laquelle figurait l’Église.
V. Abolition du sacerdoce d’Aaron prédite à Héli.
VI. De l’éternité promise au sacerdoce et au royaume des Juifs, afin que, les voyant détruits, on reconnût que cette promesse concernait un autre royaume et un autre sacerdoce dont ceux-là étaient la figure.
VII. De la division du royaume d’Israël prédite par Samuel à Saül, et de ce qu’elle figurait.
VIII. Les promesses de Dieu à David touchant Salomon ne peuvent s’entendre que de Jésus-Christ.
IX. De la prophétie du psaume quatre-vingt-huitième, laquelle est semblable à celle de Nathan dans le second livre des rois.