est flétri, vieilli. Ton allégresse est morte. Tu as souillé ton Nirvana d’où te venaient cent sources de fraîcheur. Pis, tu l’as ennuyé. Tu ne t’y plairas plus. Que je te plains !
Une femme a-t-elle épousé un pleutre ? Il s’arrange pour ne pas payer la pension alimentaire à quoi les tribunaux l’ont condamné, elle se voit arracher son enfant même quand elle en a la garde si le père prétend ne pas pouvoir entretenir son fils ailleurs que chez sa maîtresse épousée qui, elle, élève l’enfant dans l’horreur de sa mère ; bref tu entres dans un réseau d’atrocités dont une femme ne sort plus.
Surtout ne fais pas la vie dure au franc-fileur.
La mauvaise grâce n’apporte que rupture.
Il n’en est qu’une irrésistible : le reprendre au filet des plaisirs, des bonheurs quotidiens. Faire la scène qui te démange, c’est le perdre à jamais. Brusqué par toi il ira vivre avec elle. Ton arme, tu