tromper que de croire que cette place soit malsaine ; et certainement on peut l’en croire, car il a une parfaite connaissance de la nature de l’air : d’ailleurs, son propre frère s’y est souvent rendu avec toute sa famille. »
« Vous auriez dû aller à Cromer, ma chère, si vous étiez forcée d’aller quelque part. Perry a passé une fois toute une semaine à Cromer ; et il le regarde comme le meilleur endroit pour y prendre des bains de mer. Une belle mer ouverte, et un air excellent. De plus, vous auriez pu avoir un logement à un quart de mille de la mer. Vous auriez dû consulter Perry. »
« Mais, papa il faut aussi considérer la différence du voyage : cent milles au lieu de quarante. »
« Ah ! ma chère, quand la santé en dépend, comme dit Perry, on ne doit rien considérer ; et lorsqu’on doit