Page:Autran - Œuvres complètes, t1, 1875.djvu/141

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Si ce n’est — brillant d’une humide flamme —
Entre ses longs cils votre grand œil noir !

Votre œil qui me tient muet sous le charme,
S’il fixe sur moi son joyeux éclair,
Ou bien s’il me fait voir dans une larme
Une âme profonde autant que la mer !