Page:Autran - Œuvres complètes, t2, 1875.djvu/400

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
389
À MONSIEUR CLAUDE.

Conviens-en, mon ami, cela serait meilleur
Que de vivre au milieu de ton Paris railleur,
Seul, perdu dans le flot du torrent qui circule,
Étalant au hasard ta pourpre ridicule,
Et non moins déplacé dans ce monde des arts
Que, par un jour de fête, un âne au Champ de Mars !