Page:Béranger, oeuvres complètes - tome 1.pdf/199

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Et la nuit, dans son voile humide,
Dérobe tes bords à mes yeux !

Adieu, charmant pays de France,
        Que je dois tant chérir !
Berceau de mon heureuse enfance,
Adieu ! te quitter c’est mourir.