Page:Béranger, oeuvres complètes - tome 1.pdf/240

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    Que l’secret d’son bonheur suprême
    Reste à c’te gross’ maman que v’là.
    Nous qui sommes d’ ceux qu’Antoine aime,
Souhaitons-lui d’ ces vrais plaisirs-là.


Nota. on trouvera peut-être que cette chanson, comme beaucoup d’autres des miennes, était peu digne de voir le jour. En effet, je ne la livre à l’impression que parce qu’elle m’offre l’occasion de payer un tribut d’éloges à l’un de nos littérateurs les plus distingués. Je regrette qu’elle ne soit pas meilleure, et surtout que le ton qui y règne ne m’ait pas permis d’y faire entrer l’expression de ma reconnaissance particulière pour l’homme excellent dont l’amitié me fut si longtemps utile, et me sera toujours précieuse. (1815.)