Page:Béranger, oeuvres complètes - tome 1.pdf/382

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Si j’allais, couronné de lierre,
Ici fermer les yeux soudain ;
En chantant, remplissez mon verre,
Et de vos mains pressez ma main.
Si Bacchus, dont je suis l’apôtre,
Ne m’inspire un joyeux transport,
Si ma main ne serre la vôtre,
Adieu, mes amis, je suis mort !